PROTOCOLE| Comossion cérébrale le règlement

PROTOCOLE| Comossion cérébrale le règlement

Un choc à la tête peut être très dangereux et avoir de graves conséquences si on applique pas un protocole rigoureux et stricte. C'est entre autre l'une des raisons ou l'ont peut constater qu'il a beaucoup de controlydans le football, ainsi que des cas où par exemple un joueur qui esquice un coup de coude sur la tête d'un autre joueur, est généralement sanctionné d'un carton rouge car un dommage sévère peut avoir des effets irréversible.
Le protocole lié aux chocs à la tête dans le football est une série de mesures visant à protéger les joueurs après un coup ou une collision potentielle impliquant la tête. Ce protocole a été renforcé ces dernières années en raison des inquiétudes croissantes autour des commotions cérébrales et de leurs effets à long terme.



Voici les grandes lignes du protocole choc à la tête :



Arrêt immédiat du jeu : Lorsqu'un joueur subit un choc à la tête, l'arbitre arrête le jeu immédiatement pour permettre une évaluation médicale.


Examen médical sur le terrain : Le personnel médical de l'équipe procède à une première évaluation. Si une commotion cérébrale est suspectée, le joueur ne doit pas reprendre le jeu immédiatement.
Image Presse Sport 


Substitution temporaire ou définitive : Dans certains championnats, un joueur peut être remplacé temporairement pendant l’évaluation médicale, mais il existe aussi des règles autorisant un remplacement supplémentaire permanent en cas de suspicion de commotion.


Évaluation complète hors du terrain : Si une commotion cérébrale est confirmée ou fortement suspectée, le joueur est retiré du jeu et ne peut pas revenir avant d'avoir passé une série de tests et d'avoir obtenu l'autorisation médicale.


Reprise progressive de l'activité : En cas de commotion confirmée, le joueur doit suivre un programme de reprise progressive, avec des étapes spécifiques avant de pouvoir revenir à la compétition.



Ces protocoles visent à protéger les joueurs contre les risques de complications neurologiques graves, à court comme à long terme, notamment les risques de syndromes post-commotionnels ou d'encéphalopathie traumatique chronique (ETC), souvent associés aux blessures répétées.

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