Rayan Cherki à Manchester City : un transfert bouclé selon RMC Sport
Paris , 9 juin 2025 –
Après plusieurs semaines de tractations, le grand espoir du football français Rayan Cherki (21 ans) s'apprête à franchir une étape majeure dans sa carrière. D’après des sources concordantes, dont RMC Sport, Manchester City a trouvé un accord avec l’Olympique Lyonnais pour enrôler le milieu offensif étoile dans les prochaines heures.
Fonds du dossier et contexte du transfert
Selon les informations de OneFootball, la transaction s’élèverait à environ 40 millions d’euros, avec un contrat de cinq ans liant Cherki au club mancunien . Cette finale constitue la troisième recrue marquante de l’été à l’Etihad Stadium, après Tijjani Reijnders et Rayan Aït‑Nouri .
Le joueur a déjà donné son accord sur les termes personnels avec City, évitant à Pep Guardiola un énième casse-tête salarial . Reste à obtenir le feu vert définitif entre les deux clubs, même si Manchester City est prêt à rehausser son offre initiale jugée insuffisante par Lyon .
Un coup tactique pour remplacer De Bruyne?
Lee Parker - CameraSport/CameraSport via Getty Images
À la suite du départ annoncé de Kevin De Bruyne, Manchester City a intensifié ses efforts pour trouver une perle créative. Rayan Cherki, désigné « next Eden Hazard », se profile comme la solution envisagée. Ses 8 buts et 11 passes décisives en Ligue 1 cette saison témoignent de son impact .
Pep Guardiola, qui recherchait initialement Florian Wirtz, aurait redirigé son attention vers Cherki pour des raisons à la fois sportives et économiques .
Une arrivée opportune avant le Club World Cup
Les délais sont serrés. Cherki souhaiterait participer à la Coupe du Monde des Clubs, prévue aux États-Unis fin juin, ce qui mobilise Manchester City pour finaliser l’opération avant le mardi 10 juin, date limite pour l’inscription à la compétition .
Perspective et enjeux
Pour Lyon, ce départ représente une manne financière bienvenue, estimée entre 30 et 40 millions d’euros, face à des contraintes budgétaires bien réelles .
